C'est un récit d'une nuit parfaite où chaque son s'éveillait, sans nécessité de musique.
Dans les heures tardives, écoutant l'histoire des amants, nous nous sommes abandonnés à l'étreinte de la nuit. Nos voix douces, mêlées aux airs anciens de la radio, créaient une dissonance délicate, tandis que par moments, nous nous contemplions dans le silence. Le calme s'entremêlait de brèves interférences dans l'espace, telles des souvenirs fugaces. En écoutant cette histoire, nous nous acheminions vers une forêt imaginaire, un bosquet de sons inexistants ailleurs. C'est là que la compassion mutuelle se dévoile en plénitude.
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